Un monde post-covid fait d’incertitudes ancré dans une certitude: la nécessité vitale de changer de cap et chaque énergie individuelle mise dans ce changement collectif compte…

Les constats: vulnérabilité systémique de nos modes de vie, dérèglement climatique, extinction du vivant, épuisement des ressources, pollution de nos milieux, paix sociale en grande fragilité, etc. 

Autant de symptômes d’un mode de vivre et faire-ensemble devenu complètement défaillant aujourd’hui. 

A cela s’ajoute une dissonance cognitive généralisée, une incapacité d’agir collectivement pour un futur vi(v)able au nom d’un présent enviable et sans limite. Nous savons, mais nous sommes incapables d’agir autrement qu’à la marge.. 

Les besoins: Transformations écologique, énergétique, économique, sociale, démocratique et humaine

=> Agir à tous les niveaux intérieur/individuel/collectif, dans tous les secteurs alimentation/logement/transport/production, à toutes les échelles locale/nationale/mondiale. Cela sans attendre que quelqu’un d’autre le fasse avant moi/nous. 

Les leviers:

• Réinventer les emplois, les vocations et les récits collectifs qui sous-tendent nos actions et leur “coordination”.

• Accompagner le changement profond des comportements sans lesquels aucune transformation durable ne sera possible; qu’il s’agisse de parents, de citoyens, de professeurs, de salariés, de décideurs économiques et/ou politiques

• Tisser des liens humains et nourrir le contact avec l’altérité pour opérer ces vives transformations systémiques avec humanité et sens; la solidarité, la coopération et la mutualisation sont de précieux moteurs de résilience et joie de vivre.

• Les territoires et les lieux comme espaces pivot d’expérimentations et transformations individuelles et collectives ; les institutions et les entreprises comme souteneurs et démultiplicateurs de celles-ci.